Parce que 25% des défaillances d'entreprises sont dues à des retards de paiement, se protéger contre les impayés, en amont et en aval des transactions, est crucial.
Parce que gérer les litiges clients signifie obtenir la satisfaction de la clientèle et diminuer les retards de paiement, il s'agit d'une étape essentielle pour se protéger des impayés et assurer la pérennité de l'entreprise.
Sécuriser le risque client est indispensable à la pérennité de l'entreprise. L'application de pénalités encadrera les délais de paiement, tandis que la prise de garanties diminuera les effets d'impayés.
Les documents commerciaux, dûment signés, jalonnent et sécurisent toute transaction. Matérialisant l'engagement réciproque des parties, ils encadrent les conditions du partenariat selon la typologie du risque client et protègent contre les impayés.
Souscrire une assurance-crédit est pertinent pour gérer le risque client en se protégeant contre les impayés. Encore faut-il que l'entreprise comprenne son fonctionnement et négocie des services adaptés à ses besoins.
A l'heure où la défaillance d'une entreprise sur quatre trouve son origine dans des retards de paiement, étudier la solvabilité des clients est indispensable.
Bien gérer ses stocks permet à l'entreprise d'augmenter son chiffre d'affaires. Une politique de gestion des stocks efficace et optimisée garantit aux entreprises de réduire leurs coûts. Cela passe par l'évitement de deux écueils : stocker trop ou trop peu, car ces deux excès ont des conséquences néfastes sur le résultat d'exploitation.
Le résultat d'exploitation reflète la différence entre produits et charges d'exploitation dans le compte de résultat. Cet indicateur clé de la rentabilité figure parmi les soldes intermédiaires de gestion ; il est aussi un élément du calcul du résultat net.
La capacité d'autofinancement (CAF) est un indicateur-clé de l'activité de l'entreprise, obtenu à partir du compte de résultat. Il révèle le flux potentiel de trésorerie de l'entreprise, c'est-à-dire les ressources brutes générées par son activité, dont elle dispose en fin d'exercice.
Le besoin en fonds de roulement (BFR) renseigne sur le niveau de ressources nécessaires pour financer le cycle d'exploitation de l'entreprise. C'est un indicateur stratégique de la gestion financière d'une entreprise, car il dicte les actions à mener pour s'assurer que la trésorerie couvre en permanence l'activité de l'entreprise.
La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) étant un impôt sur la consommation, elle n'est pas supportée par l'entreprise. La TVA doit toutefois être collectée sur les produits et services vendus, et peut être réglée sur ceux achetés à ses fournisseurs. Il existe donc plusieurs formules pour calculer sa TVA.
La valeur ajoutée (VA) mesure la création de richesse de l'entreprise. Elle diffère du chiffre d'affaires, car elle lui retranche les coûts intermédiaires. La valeur ajoutée fait ressortir l'excédent de production de l'entreprise, sur sa consommation de la production de ses fournisseurs. Le calcul de la valeur ajoutée permet au chef d'entreprise de situer son niveau de bénéfice par rapport aux autres entreprises de son secteur d'activités.
La marge brute est un indicateur essentiel du compte de résultat, qui renseigne sur les gains réalisés par son entreprise sur une période donnée. Elle mesure la différence entre le prix de vente et le coût de revient d'un produit ou d'un service. Il s'agit d'un élément clé de la compétitivité de l'entreprise, servant de base au calcul du taux de marge brute.
Savoir calculer le seuil de rentabilité de son entreprise permet de connaître le montant de ses ventes à partir desquelles on commence à dégager un bénéfice. Ce chiffre-clé est stratégique pour le chef d'entreprise, puisqu'il détermine le point de mort de son activité. A partir du seuil de rentabilité, il est possible de revoir les prix de ses produits ou le montant de ses charges, afin de réaliser des bénéfices. Cet indicateur s'obtient à partir d'éléments compris dans le compte de résultat.